La honte et le retard
mardi 23 mai 2023Au Jardin d’Eden, « Adam et sa femme » se découvrent; à vrai dire, ils n’ont jamais été couverts.
Au Jardin d’Eden, « Adam et sa femme » se découvrent; à vrai dire, ils n’ont jamais été couverts.
La Parasha « A’harei Mot » (« Après la mort »), qui décrit le rituel du bouc émissaire, tire son nom de son premier verset (Lévitique, 16, 1), qui évoque la mort des deux fils d’Aaron.
Dans le livre d’Esther, le 13 Adar est à quatre reprises (Esther 3, 7; 3,13; 8,12 et 9,1) indiqué comme la date du massacre programmé des Juifs puis de leur sauvetage inespéré.
Le sacrifice de l’agneau pascal, avant la sortie d’Egypte, est prescrite aux enfants d’Israël en Exode 12, dont un des versets est : Exode, 12, 5.
Let my people go définit le peuple d’Israël comme la partie des Hébreux étant sortie d’Egypte. L’agneau pascal, lui, le définit à son tour comme un ensemble de familles – et non d’individus.
Combien de fois la formule Let my people go revient-elle dans le Livre de l’Exode ? Le moteur de recherches de Judeopedia répond.
En Exode 5, 1 apparaît la formule « Let My People Go ».
Joseph change de nom quand il devient Vice-Roi d’Egypte.
Et c’est au bout de deux ans, Pharaon rêve.
Le dernier verset de Genèse 40 et de la parasha VaYeshev est :