Croire en la Promesse
mardi, janvier 31st, 2017La parasha Vaéra doit son nom à un verset énigmatique.
La parasha Vaéra doit son nom à un verset énigmatique.
Quand les Sages rectifient la Torah
Dans le premier verset de la Genèse, les mots « ciel » et « terre » sont chacun précédés par une particule, אֵת, « ète », qui introduit le complément d’objet direct. Ces deux mots disparaissent de toutes les traductions dans les langues occidentales ; deux mots sur les sept que compte ce verset disparaissent de l’univers mental du lecteur.
La parasha Haazinou est essentiellement constituée du Cantique que Moïse, à la veille de sa mort, entonne à la gloire de l’Éternel.
Nul n’a le droit de contester la compétence d’un juge.
La parasha Devarim, la première du Deutéronome (Devarim), contient les remontrances que Moïse adresse aux enfants d’Israël, avant leur entrée en Terre Promise.
Où l’on voit pourquoi « Dix Paroles » sont « Dix Commandements ».
La parasha Michpatim (lois) s’achève par le célèbre acquiescement des Enfants d’Israël : « Tout ce que l’Eternel a dit, nous le ferons et nous l’entendrons »
La parasha Yitro contient le texte des Dix Commandements :
La Parasha Chemot, la première de l’Exode, contient l’épisode du Buisson ardent, dans lequel Moïse (מֹשֶׁה, MSH, Moché) demande à Dieu (אֱלֹהִים, ALHYM, Elohym) quel est son Nom (מַה-שְּׁמוֹ, MH SMW, Mah Chemo ? ).